Elle marcha en direction d’une vallée, où les fleurs étaient d’un bleu, presque le même que celui du ciel. Cela donner l’impression, que le ciel, entourait les quelques maisons qui s’y trouvait là. Un bleu azur, parsemé de petites taches marrons, voilà ce que donnait se paysage qui se trouvait à cet instant devant les yeux de Karin. Elle continua sa route, et elle arriva à une étrange maisonnette. Celle-ci était légèrement délabrée, et les fenêtres ne tenaient visiblement plus très bien. L’une d’elle était cassée, et les trois autres, qui entourait la maison, sur les cotés, étaient en piteux états. Apparemment, de vu, tout semblait penser que personne ne vivait ici, depuis longtemps maintenant. Elle s’avança, et toucha la poignée de la porte toute écaillée par le temps. Celle-ci s’ouvrit, et à l’intérieur, un rayon de lumière traversait la pièce de tout son long jusque dans un coin, au sol près d’une armoire vieillit par le temps et la poussière. Dans cette armoire, on pouvait y voir des assiettes, et autres couverts, le tout sous une couche d’écaillement. Karin entra dans la maison, et regarda de plus près les affaires, qu’y se trouvait là, pour voir dans quels états ils étaient. Deux, trois, verres étaient encore en assez bon état, ainsi que deux assiettes. Elle décida de rester là, pour la nuit, et qu’elle repartirait le lendemain matin, pour aller en directions des montagnes blanches. Elle installa une couverture qu’elle portait avec elle, dans son sac, à terre, là où la lumière tombait.Un peu plus tard, la nuit commença à se montrer à l’horizon de la vallée. C’était comme une ombre qui recouvrait tout l’espace qu’elle pouvait. L’obscurité installé, les étoiles firent leurs apparitions, et rendaient les montagnes presque, comme luisante, voir même éclairées. Mais ces montagnes avaient quelques choses de mystérieuses. Malgrès cela, elle s’endormit profondément sans penser à quoi que se soit.
Le lendemain matin, elle se réveilla, rangea ses affaires, et reprit la route. Elle quitta la vallée de fleurs bleus où elle avait passé la nuit, et marcha vers les montagnes Blanches. Karin traversa d’autres vallées, des rivières transparentes tellement l’eau était claire, et aussi des forêt denses comme si les arbres ne voulaient pas rester séparer des autres. Certains arbres étaient d’un vert presque comme les émeraudes, ce qui rendaient la forêt, comme une collection de couleurs que seule, la nature avait fait maitre du domaine. Elle s’engagea dans une forêt, où, au fur et à mesure, qu’elle avançait, elle s’enfonçait dans un amas de buissons, d’arbres, et de faunes si dense, qu’arrivée au milieu de son chemin, Karin se rendit compte qu’elle ne voyait plus du tout, le ciel bleu. Elle continua à s’enfoncer dans cette verdure intense. Le jour, la nuit, plus rien ne laisser transparaitre le moindre rayon de soleil, ni même la moindre lueur de la lune. Cela refroidit l’atmosphère qui régnait dans la forêt. Elle avança, ayant de plus en plus froid, et mit sa cape, pour avoir plus chaud. Elle arriva devant un pont. Ce pont était à moitié visible , l’autre moitié était caché par le brouillard qui sortait de nulle part. Elle marche en direction du pont et , lorsqu’elle arriva devant le pont, elle se rendit compte que plus rien ne poussait au pied du pont. Plus aucune herbes, aucun buissons, ni même des animaux ni vivaient. Rien! Juste un pont à moitié dans le brouillard, et une montagne blanche devant elle. Aucun être vivant quel qu’il soit, ne vivait dans cette endroit, froid, et brumeux. Aucun signe de vie n’y était présent. Elle s’avança, et commença à marcher sur le pont. Au moment même, où, elle posa le pied sur le pont, un vieillard apparu au bord du brouillard qui noyait l’autre moitié du pont. C’était un vieillard, qui malgrès son âge avait l’air d’être quand même fort. Il avait les mains dans son dos et était légèrement cambré, vers l’avant. Karin fut surprise par sa présence qu’elle n’avait pas ressentit. Cela était rare que Karin ne parvienne pas à ressentir le chakra de quelqu’un. A part son propre chakra, tout les autres, elle pouvait les ressentir, mais si elle ne ressentait pas le chakra de ce vieil homme, cela voulait surement dire qu’il n’en possédait pas. Mais malgrès tout, il fallait se méfier de cet étranger. Bien qu’il est de l’âge, le fait qu’il soit d’aspect fragile, ne montre en rien sa capacité physique. Elle se retourna pour voir si quelqu’un la suivait, et pour regarder une dernière fois cette imposante forêt, puis, lorsqu’elle se remit face, au pont, le vieil homme avait disparu.
Elle marcha en direction du pont, passa la moitié de celui-ci, et entra dans une zone de brouillard si dense qu’elle ne voyait pas plus loin que deux mètres devant elle. Elle continua à avancer et tomba à terre, à genoux. Elle était tombée car elle n’avait pas vu la marche en bas du pont, une marche qu’il n’y avait pas à l’entré de celui-ci. Elle se releva, récupéra son sac qu’elle avait fait tomber, et vu que le brouillard qui se leva devant ses yeux, pour laisser place à une montagne blanche, mais ce n’était pas de la neige qu’il y avait mais, que des champs de fleurs ressemblant à des lys, bien que ça n’en était pas, et ils étaient blanc, si blanc que le soleil qui s’y reflétait, les rendaient cristallins. Elle aperçu un étrange chemin, longeant une forêt d’arbres avec des racines à épines, si grands, que les ronces se chevauchaient d’arbres en arbres, tout le long du chemin. Elle s’embarqua sur le chemin, s’enfonçant de plus en plus dans cet étrange tas d’arbres, et de ronces. Quelque chose faisait que, Karin était sur ses gardes. Elle avait une impression, d’être suivit, d’être espionner. Elle s’arrêta net. Après avoir regarder, elle reprit sa route, mais se sentiment d’être espionner n’avait pas disparu, et elle, compta bien savoir qui la suivait comme ça. Elle marcha, jusqu’à voir tomber la nuit. Elle vit une rivière près du chemin, s’y fraya un chemin pour pouvoir y accéder. Elle se rafraichissait la figure, et se prépara un peu de thé. Plus tard, elle se coucha dans son futon, et s’endormi. Une étrangerère apparut pendant la nuit, près de Karin, avec une arme à la main. L’arme qu’il avait était un kunai. Elle se pencha sur elle, croyant qu’elle était endormit, et elle leva sa main pour après, poignardé la kunoichi. Faute d’expérience pour l’étrangerère, au moment même où elle allait rentré le kunai dans la jeune femme, Karin apparut un kunai sous la gorge de son étrangerère. Celle-ci était surprise par la kunoichi. Elle avait utilisé la technique de substitution « Kawarizmi No Jutsu » . Cela lui avait permit de pouvoir permuté avec un morceau de tronc d’arbre, et de pouvoir, grâce à cela, surprendre l’ennemie, qui, comme elle espérait, l’attaquerait la nuit durant le sommeil de celle-ci. Elle lui serra le bras en arrière, et garda le kunai sous la gorge, pour pas qu’elle se dégage et qu’elle en profite pour filer. Elle l’attacha, pour l’immobiliser, et la questionna pour savoir, la raison de cet acte. Celle-ci ne répondit rien à part le fait qu’elle allait avoir des ennuies, et ça, si elle voulait arrivé en haut de la montagne, elle serait attaquée voir même tuer. Elle eu un air étonné. Elle regarda l’étrangerère, qui était habillé d’un vêtement de ninja.Vu qu'elle ne voulairt pas révélé qui elle était ou même, pourquoi elle voulait la tuer, elle eu une idée. Elle se pencha vers son sac pour attraper une boite avec des petites billes de couleurs assez bizarre, qui avait pour effets, d’endormir celui ou celle qui en prenait. Elle en prit une et rangea sa boîte bien au fond de son sac. Karin se tourna vers l’étrangère, et la força à ouvrir la bouche et lui administra la petite bille. La gamakichi tomba dans un sommeil profond. Pendant ce temps, Karin rangea ses affaires, et au petit matin, elle parti avant que l’étranger ne se réveille et défasse ses liens, qui le retenait, durant tout la nuit où il avait été attraper.
Elle n’avait pas envie de s ‘embêter avec cette gamakichi qui s’était fait avoir trop facilement à son goût. Le faite qu'elle était très mal « caché » et, même le faite qu’elle ne sait pas plus débattue, était suspect. Elle reprit son chemin au petit matin. Mais cette fois, elle s’était tenue sur ses gardes, en prévoyant un plan, qu’elle mit en marche dès qu’elle fut sur le chemin. Durant son ascension, des pièges apparurent. Des genjutsus, tels que des illusions, de tourner en rond, ce qu’elle annula avec la technique « Kai ». Elle eu aussi, des pièges fait à l’aide de parchemins explosifs, cachés sous des feuilles qui tombait au grès du vent, et qui déclenchaient des explosions, consécutifs. Elle les contra en sautant de branches en branches, pour pouvoir éviter les explosions. Cela n'était qu'un petit aperçu de ce qui l'attendait. Elle savait que tout ces pièges, qu'elle avait eu, n'était là, que pour, pouvoir faire battre en retrait, les gens qui arrivèrent, ici. Elle, elle n'était pas du tout, découragée, au contraire, elle était plus que remontée, a savoir ce que cacher tout ce cirque! Karin prit ce chemin semé d'embuscade comme un parcours d'entrainement. Elle aimait bien prendre ça pour un entrainement. Et de ce fait, elle continua le chemin...
Dim 16 Nov - 15:19
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